🇺🇸 #ElonMusk reveals he wouldn’t do DOGE again — doubts that effort to chainsaw government was successful.🌟
Elon Musk now says he wouldn’t do DOGE again. In a candid conversation on The Katie Miller Podcast, the billionaire admitted he’s no longer sure his attempt to “chainsaw” government waste through the Department of Government Efficiency (DOGE) was worth the chaos.
Musk revealed DOGE uncovered $100–$200 billion in “zombie payments” each year — but only managed to shut down a small slice of it. The effort triggered intense backlash. “If you stop money going to political corruption, they will lash out big time,” he said.
He pointed to the wave of Tesla vandalism earlier this year, which he linked to his work with the second Trump administration.
Asked if he’d take the role again, Musk paused — then said no. “I would’ve just focused on my companies.”
The interview swung between policy and personal struggle. Musk spoke about:
AI nightmares waking him up “many days in a row”
Running life on six hours of sleep
Avoiding public places due to security threats
The chilling impact of the Charlie Kirk assassination
He denied having “irrational fears,” claiming he crushes them instantly: “Fear is the mind killer.”
Despite everything, his biggest regret is simple: “Knowing what I know now… I don’t think I’d do DOGE.”
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Dans le monde étrange des cryptomonnaies, Où l'or numérique attise les pensées, Abra le kangourou avançait avec foi, Tandis qu’Andrea, la paresseuse, ne pensait qu'à elle et à sa loi.
"Je veux l'argent, je veux le pouvoir, Peu importe les moyens, je veux tout avoir. Pourquoi m'attarder sur des valeurs si futiles, Quand la gloire me tend les bras, brillante et facile ?"
Abra, observant, secoua doucement la tête, "Andrea, ton chemin n'est qu'une tempête. L'argent sans sens, le pouvoir sans bonté, Ne mènent qu'à un vide que rien ne peut combler."
Mais Andrea, aveuglée, forgeait ses plans, Des posts sans âme, des projets clinquants. "Je dominerai ce monde, je serai leur reine, La bienveillance est inutile, elle me freine."
Alors qu’Andrea s’élançait, prête à conquérir, Son empire fragile commença à fléchir. Les mensonges se dénouèrent, les trahisons éclatèrent, Et autour d’elle, tout s’effondra, poussière amère.
C’est alors qu’Abra, avec calme et douceur, Tendit sa patte, avec un sourire plein de chaleur. "Andrea, il n’est jamais trop tard pour changer, Laisse tomber la peur, apprends à donner."
Andrea, abasourdie, baissa enfin les yeux, Voyant ses erreurs, elle se sentit honteuse. "L’argent et le pouvoir m’ont laissée vide et seule, Je veux comprendre, Abra, comment trouver le vrai sol."
Abra répondit, avec sagesse et clarté : "Ce n’est pas ce que tu prends, mais ce que tu crées. Ce n’est pas ce que tu possèdes, mais ce que tu donnes, Qui fait de toi quelqu’un que le monde pardonne."
Alors Andrea apprit, petit à petit, À bâtir avec cœur, à agir sans mépris. Et dans ce monde où tout semblait compétition, Elle trouva la paix dans la collaboration.
La morale ? Ce n’est ni l’argent, ni la gloire, ni le pouvoir, Qui donnent du sens à nos histoires. C’est la bienveillance, la main tendue, Qui transforme les cœurs et éclaire les vues.
Morale de l'histoire :
L’IA écrit, les gens copient, les nouveaux croient, et la bêtise prospère. Cercle parfait.