Le plus grand créancier du monde est sur le point de déverser 3 trillions de dollars
Le géant silencieux commence enfin à s'agiter. Le rendement des obligations japonaises à 10 ans vient juste de grimper à des niveaux non vus depuis 2007, marquant le plus grand réévaluation obligataire de l'histoire moderne. Cet événement sismique se déroule alors que le Japon affiche simultanément un ratio de 255% de dette par rapport au PIB et tente une expansion budgétaire majeure. La gravité financière est immense ; chaque augmentation de 100 points de base du rendement ajoute des trillions à leur coût de service de la dette. Les mathématiques ne fonctionnent tout simplement pas.
Le point critique est le trade de carry en Yen de 20 trillions de dollars—le pari mondial que les taux japonais resteraient proches de zéro pour toujours. Cette hypothèse est morte. Alors que ce trade massif se dénoue, les implications se répercutent à l'échelle mondiale. Le Japon, la plus grande nation créancière du monde, détient 3 trillions de dollars d'actifs étrangers. S'ils sont contraints de liquider même une fraction de ce portefeuille pour faire face à leur dette en flèche, la dislocation du marché qui en résultera écrasera toute crise récente.
Ce n'est pas un problème régional ; c'est un choc systémique pour la liquidité mondiale. Lorsque des trillions de capitaux traditionnels sont contraints de bouger, la fuite vers des actifs véritablement rares s'accélère. $BTC et $ETH sont les valves d'échappement ultimes pour les capitaux cherchant refuge face aux crises de la dette souveraine et aux événements de vente forcée. L'ère de l'argent bon marché qui a alimenté la dernière décennie est révolue, et les conséquences arrivent rapidement.
Ce n'est pas un conseil financier.
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