Après une longue interruption, le BLS a publié des données sur le travail et l'inflation retardées, basées sur des hypothèses douteuses qui ont flatté un récit de réduction des taux. Les marchés ont en grande partie haussé les épaules : le SOFR était toujours évalué pour un assouplissement limité, et les rendements à long terme ont à peine bougé, montrant que la crédibilité pèse désormais autant que les chiffres.
Les incitations peuvent être à la fois fiscales et politiques, étant donné comment les recettes fiscales sur le revenu progressif suivent les marchés boursiers. Pendant ce temps, la pause sans direction de la BCE et la réduction agressive de la BoE tempèrent les attentes d'un cycle d'assouplissement fluide.